dimanche 23 octobre 2011

Chili, le pays tout en longueur

Hola todos !



Cordillère des Andes
Avec tout le temps libre que j'ai (et oui pour ceux qui ne sont pas encore au courant je n'ai toujours pas commencé à travailler, et je ne travaillerai jamais d'ailleurs...enfin pas pour le travail pour lequel je suis venue), je me lance dans un blog, même si l'écriture n'est pas vraiment mon fort. Cela permettra à certaine personne qui n'ont pas encore vu mes photos de les voir, mais aussi de vous donner des nouvelles plus facilement.



Commençons par le commencement : Je suis arrivée à Santiago du Chili le jeudi 22 Septembre 2011, après une journée de vol, Paris – Madrid – Santiago de Chile. L’aéroport International Arutro Merino Benitez, est l’unique aéroport de la capitale. On s’attend à être totalement perdu, à ce qu’il soit super grand, mais en fait, pas du tout ! Il est à peine plus grand que l’aéroport de Beauvais ! Le plus impressionnant, c’est « l’après douane », le contrôle alimentaire. Des chiens avec des gilets viennent renifler tes bagages…et là tu as un moment de doute avec la fatigue, le stress monte et tu te poses la question stupide : « J’ai quoi dans ma valise qui pourrait attirer l’attention ? ». Au final, tu n’as rien et tu passes tranquillement (ou presque). C’est aussi le moment où tu entends du chilien. Oui oui, je dis bien du chilien et pas de l’espagnol. C’est effectivement une langue bien distincte.
Bref, revenons-en à mon histoire. Et comme à chaque fois que j’arrive dans un nouveau pays, les péripéties commencent (sinon ce n’est pas drôle et ce n’est pas moi). Donc cela commence par le fait que j’ai faillit ne jamais trouver ma valise (qui était soit dit en passant avec deux autres valises françaises sur un autre tapis que celui de mon vol). J’attends une connaissance qui était sensée arriver des USA pratiquement à la même heure que moi. Comme je vous l’ai dit, c’est tout petit, et il n’y a qu’une seule porte de sortie…bah on a réussi à ne jamais se croiser…Au bout de 2h30 d’attente, je me dis qu’il n’a pas pris son vol. Je prends donc un taxi (qui bien sûr m’a arnaquée sur le prix comme je m’y attendais) malgré cela, le gars très sympathique, me fait en même temps un descriptif de chaque endroit où l’on passe et me donne les bons plans sur la nourriture, les endroits où sortir et tout.

A gauche là où je vis, à droite le siège de l'agence de voyage
Je finis par arriver à destination (l’agence de voyage, mais je finis par comprendre que c’est aussi mon lieu d’habitation…pas plus mal pour mes valises) avec donc quelques heures de retard. Tout le monde à l’air très occupé…ou, j’ai compris par la suite, que personne n’était vraiment intéressé par mon arrivée. J’apprends que je vais vivre quelques jours ici sur Santiago, et que j’ai une colloc’ française (cool). En fait, ici tout le monde était au courant de mon arrivée, mais personne ne savait ce que je venais faire ici. Le patron n’était pas là (il était dans le sud). J’ai appris qu’il avait fait une description de moi assez différente de ce que je suis alors qu’il m’avait rencontré en France… (Déjà à ce moment là, je me suis dit : « bizarre ce bonhomme ! »).


Que l'aventure commence !!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire